Une audience a lieu en urgence le 25 juillet et là, Victoria apprend que Louis est placé car il y a « un trop fort conflit parental »…
Je veux protéger mon garçon de son père violent et la Justice m’empêche

Une audience a lieu en urgence le 25 juillet et là, Victoria apprend que Louis est placé car il y a « un trop fort conflit parental »…
Vanessa est une jeune femme hyper sensible, avec un grand imaginaire. Élève modèle, enfant sans souci, elle devient avocate par idéalisme. Ses rêves de princesse chutent une première fois à la suite d’une relation néfaste qui dure 6 ans.
Dans une période émotionnelle difficile de sa vie, Priscilla rencontre Xavier qui lui semble si parfait les premières années.
« Ca fait 120 jours que mon fils de 5 ans est placé, parce que la Justice n’écoute pas les accusions d’inceste qu’il porte à l’encontre de son père » cela fait 160 jours qu’un petit garçon de 5 ans est séparé de sa mère protectrice…
Ah ce mythe de la famille comme lieu chaleureux, bienveillant et protecteur… Et si on en parlait ?
« L’ordre public ne s’arrête pas aux portes de la maison » dit le Juge Edouard Durand
C’est une bonne nouvelle, dans un cadre où les policiers / gendarmes sont rarement punis de leurs comportements de violences intrafamiliales.
Quand une victime porte plainte, elle s’en remet totalement au système pour les protéger, elle et ses proches. Cela débouche sur une relation Justice / plaignant où la victime, peu considérée, ne se voit fournir que le minimum d’informations sur ce qui va advenir : le coût, le temps, le processus… Les victimes cherchent alors des réponses.
Le gaslighting désigne une forme d’abus mental dans lequel un individu manipule la réalité pour faire douter sa victime de ses perceptions et de sa santé mentale. Ce mot anglais est issu d’une pièce datant de 1938 intitulée Gas Light où un mari fait croire à sa femme qu’elle devient folle. Celle-ci constate que leurs
Léonie a 22 ans quand elle rencontre Kévin en 2013. Indépendante, elle ne souhaite pas se mettre en couple. Kévin insiste longuement et après un an de messages pressants, Léonie finit par se mettre en couple avec lui. 15 jours plus tard, il emménage chez elle et avec lui, sa famille qui s’installe à proximité.
Une victime, c’est une victime. Hélas, dans les faits, il y en a des bonnes et des mauvaises… Cette idée offusquante peut sembler irréelle, pourtant, on l’observe tous les jours. A chaque nouvelle affaire de violences sexuelles, l’opinion publique s’empresse de juger l’histoire et ses protagonistes selon des critères peu avouables, souvent sexistes. Un bon