
L’association Protéger l’enfant a besoin d’aide sous de nombreuses formes ! N’hésitez pas à nous soutenir des manières accessibles pour vous.
Tous les petits gestes comptent pour faire avancer notre cause et notre crédo : l’enfant est à protéger en premier lieu.
Vous pouvez adhérer à l’association ou faire un don
Nous avons besoin de vous pour placer l’enfant et les droits de l’enfant au cœur de nos institutions et de notre système judiciaire.
Nous souhaitons fédérer tous ceux sensibles au besoin de réformer le délit de non représentation d’enfant, et d’une façon plus générale tous ceux qui souhaitent faire évoluer la justice des affaires familiales, pour replacer l’intérêt de l’enfant au cœur du système judiciaire, afin de mieux protéger les enfants victimes de violence intrafamiliale, et de mieux respecter la parole des enfants.
Nous souhaitons mieux protéger les enfants. Tous ensemble nous pourrons faire bouger les lignes.
Besoin de visibilité
Pour être entendu, nous avons besoin d’être visibles et donc d’être le plus nombreux possible. Vous pouvez déjà vous inscrire sur nos réseaux sociaux, celui que vous préférez ou les quatre :).


Vous êtes concerné par le délit de non représentation d’enfant ?
Vous pouvez proposer à votre avocat de déposer une QPC (Question Prioritaire de Constitutionalité)

Nous souhaiterions que les avocats déposent des QPC à chaque fois qu’ils se trouvent confrontés à des dossiers qui correspondent aux situations dénoncées. Plus il y aura de QPC soulevées (lire l’article pour davantage d’explications), plus nous augmenterons les chances que le caractère sérieux de la question soit reconnu par la Cour de cassation et qu’elle transmette la question au Conseil constitutionnel.
Il faut que la justice comprenne qu’il y a un vrai débat de société, que la réforme du délit de NRE est nécessaire.
Voici un article de l’avocat Philippe Losappio de décembre 2019 au sujet d’une QPC déposée : « le délit de non représentation d’enfant, l’urgence d’une réforme pour protéger l’enfant et la mère« .
Vous pouvez témoigner de votre cas

Vous souhaitez nous faire part de votre expérience? Pour cela il suffit de nous contacter.
Plus nous recueillerons de témoignages, plus nous aurons d’informations sur la façon dont les tribunaux rendent leurs jugements, la façon dont vous avez été écouté et compris (ou non écouté et incompris), plus nous aurons d’informations à transmettre et plus il nous sera facile d’échanger avec le gouvernement et les parlementaires.
Les témoignages peuvent se faire de façon anonyme.